
Que faut-il vraiment vous dire à propos du site d’Angkor ? On a tourné le problème dans tous les sens et nous devons bien avouer qu’on a pas trouvé par où empoigner le morceau. Vous fournir une description ? Un historique ? Une analyse de styles ? Franchement ouvrez un bouquin, il en existe des centaines.
Le seul conseil qui nos vienne à la bouche, finalement, c’est courez-y ! Nous savions que ces quelques jours seraient dans les plus marquants du voyage, mais c’est bien au-delà de ce que nous avions imaginé. Nous sommes carrément soufflés !
Nos 3 jours de marche – presque d’escalade parfois – se sont transformés en véritable marathon photographique. Tout est si beau que nous avons envie d’immortaliser chaque perspective, chaque bas-relief…
Si vous aimez les vieilles pierres, ne manquez pas nos galeries photos… Nous espérons vivement qu’elles pourront éveiller votre curiosité et qu’elles sauront vous donner l’envie de venir jusqu’ici.
Le site est si grand que les nombreux touristes qui affluent n’empêchent aucunement de savourer les lieux. Et entre deux statues khmers, on surprend même des conversations passionnantes. Comme ce Français septuagénaire qui interroge son compagnon de voyage : « Et toi, la prostate, tu l’as faite ? »
Malik aussi y a trouvé son compte. Courir dans les dédales de couloirs enchevêtrés, grimper sur les vieilles pierres… Il faut dire que la motivation est grandiose, puisqu’il paraît qu’un Coco lapin géant s’est caché quelque part… Nous restons cependant sur nos garde : il paraît que des serpents sacrément venimeux se dissimulent dans les herbes et les interstices! Le petit bonhomme joue aussi la star : il se fait filmer et photographier par les touristes italiens ; quand il pleurniche, il se trouve toujours un japonais lui offrir une friandise, un cambodgien pour le cocoler… Les enfants qui vendent des souvenirs devant les monuments lui offrent des bracelets, des flûtes, des poissons et des étoiles de papiers. Tant de gentillesse nous confond littéralement.
La ville qui nous serre de campement, Siem Reap, est très touristique, mais c’est un plaisir de s’y promener. Le marché et les boutiques regorgent de trésors et nous avons pu goûter au deuxième plat national, le Amok (c’est adinemokement bon, Djedi !) : de la viande ou du poisson cuit dans un mélange de citronnelle et de lait de coco. Un pur délire !
Aujourd’hui nous avons même – histoire de changer un peu d’atmosphère – visité un festival de photographies où nous avons pu découvrir quelques perles.
2 commentaires:
Et beh... Vous avez de la chance que j'y sois dans 2 semaines pile poil, sinon je crois que j'aurais bien envie de vous détester....;0)))
En tous cas bravo pour ce blog plein de couleurs...C'est toujours un plaisir de vous lire à défaut de vous croiser en terre asiatique(finalement je tourne un sujet pour Nouvo à Bkk, je repars le 10 janvier, si jamais...)
Et puis Pierre, arrête maintenant de draguer en te servant de Malik, aucune chance, elles n'ont d'yeux que pour lui...;0)) On les comprend...
Gros bisous à toute la smala...
Hello les voyageurs !
WOAW ! Ca à vraiment l'air magnifique...Récemment très fort en pensée avec vous... Exposition au musée Rietberg, sur l'art Khmer..
Il ne reste plus qu'à aller à Angkor pour la chaleur et les bon petits plats ;-)
Bisouxx
Irma lala
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